L’arbre au bord du lac

Et sous cet arbre aimait se cachait le jeune Ashworth lorsqu'il désirait un peu de tranquillité. Loin du brouhaha du château et de ses tonnes de torches éclairant à outrance la bâtisse, l'adolescent aimait parfois s'éloigner de tous pour penser, lire, et parfois même écrire. La club de Divination lui servait souvent à remplacer ce lieu depuis son ouverture, mais parfois, même la compagnie d'Alija ou d'Abigail pouvaient être de trop. James était un éternel planificateur, qui ne laissait pas son destin entre les mains des autres, et il ressentait cette nécessité de se poser face à lui-même pour définier quels seraient ses prochains axes. Sur son carnet de cuir qui ne le quittait jamais, l'écossais griffonnait ses objectifs.

Un ciel oscillant entre blanc et gris, indécis à la manière du centenaire qui ne sait s'il est de terre ou d'eau, comme l'étudiante qui entre en ce lieu qui ne parvient plus à être femme ou enfant. Venue pour se mettre à l'écart de la vie humaine mais avec l'espoir d'y trouver le soleil argenté, la sorcière sous cape ne peut que constater l'absence de son ainé ainsi que la présence d'un autre dont le visage ne lui dis rien, l'écusson au serpent étant la seule informations que Nymeria peut percevoir. L'hésitation point, faire demi-tour ou déranger le griffonneur en plein travail. Vrai que les élèves connaissant cet endroit s'y rendent pour y être en paix mais d'un autre coté aucune des rencontres faites ici ne s'est mal terminée pour le moment, alors Nymeria approche en faisant assez de bruit pour être repérer par le Serpentard pour cesser sa course à quelques pas de la rive.

-C'est un journal que tu écrit là?

Serait-ce le rédacteur de ce mystérieux canard dont lui as parler le leader de la maison jaune..

L'arrivée de la rouge happa le vert à ses écrits. Il se redressa et pivota la tête, afin d'essayer de reconnaître la cadette qui l'approchait, sans succès. Bien qu'ils s'étaient sûrement déjà parlés, et c'était le cas, le château était rempli de trop de visages pour retenir chaque rencontre, chaque conversation. Ainsi, Nymeria n'était qu'une gryffondor blonde d'à peu près son âge aux yeux de l'Ashworth.

Ses mains recouvertes de cuir avaient déjà fermé l'ouvrage, plume coincée entre deux pages. Toujours assis, il le leva et l'agita doucement.

« - Ça, un journal ? Je ne sais pas... C'est comme ça que tu appellerais un livre dans lequel tu écris tes pensées, tes idées, tes objectifs ? »

Ramenant son carnet à lui, James gardait ses prunelles de charbon fixées sur la demoiselle. Souhaitait-elle le rejoindre ? Elle n'était ni convié ni rejeté explicitement, c'était à elle que revenait le choix.

La magie de l'arbre au bord du lac fait son œuvre, Nymeria se permet donc de réduire la distance qui les séparent tout en posant un index sous son menton afin de l'aider à réfléchir, une astuce qui n'as toujours pas de preuve de son efficacité mais qui semble ici porter ses fruits.

- J'appellerais ça.. Une prophétie?

Arrivée à une distance respectable, ni trop loin ni -et surtout- trop proche, la petite sorcière qui ne l'est plus tant que ça s'assied d'un coup. Elle sait que d'après le choixpeau quel traits de personnalité vous guide vers la maison verte de ce fait, la question qui suis lui viens sans avoir à se creuser les méninges:

- Si ce carnet est entier remplis de tes pensées, l'acquérir serait comme lire en toi.. Et si tu atteint les objectifs que tu t'impose, qui doivent être nombreux étant donné la taille de ce carnet, ce carnet vaudras un jour une fortune. Et je pense etre sa propriétaire légitime car je lui ai trouvé un nom.

La rouge les les deux mains puis fais ce geste universel consistant à imiter la pose d'une affiche tout en déclarant:

- La prophétie de.. "Serpentard à mèche!"

L'éternel ganté, qui s'attendait à une réponse des plus pragmatiques, fit surpris par la tournure de la conversation. Sa cadette lui arracha même un rire sincère. Elle ne pouvait se douter de sa prouesse, tant il était rare que l'Ashworth ne rigole en dehors de son groupe d'amis très proches.

« - Propriétaire, ou héritière ? Car si tu me le prends maintenant... Sa valeur ne sera égale qu'aux objectifs que j'ai actuellement, capable d'évoluer lorsque je grandis... Et peut-être que celui qui le remplacera coûtera encore plus cher, du coup. »

Il s'était prêté au petit jeu de sa camarade.

« - Alors qu'en dis-tu, tu me la laisses encore un peu cette prophétie ? »

James était loin d'avoir fini de l'écrire.

Un sourire s'impose sur le visage de la lionne, toujours contente d'elle quand un rire nait de ses paroles car à ses yeux, faire rire rien qu'une personne au cours d'une journée en fait une journée qui ne fut pas inutile. Les paupières de l'adolescente se plissent ensuite pour souligner l'effort de réflexion auquel elle se prête en semblant peser le pour et le contre puis opine du chef une unique fois.

- C'est d'accord, à condition qu'il me revienne au final, et que tu me dévoile un peu de ce qu'il contient.

Ce ne sont pas des façons diront les plus rigides mais lorsque la curiosité est titiller Nymeria doit tenter de l'assouvir au risque d'y penser de longues heures et après tout, tant que le carnet ne contient pas de pensées intimes qu'il serait honteux de découvrir, aucun mal n'est fait.

- Aussi en échange je t'expliquerai comment entretenir une colonie de rat. Ca peut être très pratique tu sais.

A quelques exception prête aucun savoir n'est inutile, le tout est de savoir si l'élevage de rat en zone humide compte parmi celles-ci.

D’une grimace expressive, James fit comprendre à sa cadette qu’il n’était pas très emballé à l’idée d’entretenir une colonie de rats. Cela ne valait pas le trésor inestimable qu’il gardait de sa main droite !

« - Disons plutôt que… Si tu dois être l’héritière de "la Prophétie du Serpentard à mèches", je préférerais en apprendre un peu plus sur toi plutôt que sur tes amis les rats. »

Il espérait ne pas la vexer en déclinant sa proposition.

« - Allez dis-moi, qu’est-ce que tu venais faire ici avant de tomber sur un vilain Serpentard ? Et avant toute chose, qui es-tu ? »

La grimace de son ainé fait sourire l'adolescente, la réputation de ces bestioles est mauvaise depuis la nuit des temps et cela ne risque pas de changer de sitôt, elle le sait mais l'oublie régulièrement.

-Il n'y as pas de vilain Serpentard, que des vilaines personne n'est-ce pas. C'est ce que dirais Nymeria Lancaster et coup de chance, c'est moi!

Pas sur que "coup de chance" sois l'expression approprié, bavarde et curieuse comme elle peut l'être.

-Je venais voir si Sun étais dans les parages, tu le connais? Je ne l'ai pas vue depuis la rentrée.

La Gryffondor n'est pas précurseur pour grand chose mais passer du temps avec Sun Silver est une activité qu'elle semble presque seule à pratiquer, volontairement de surcroit.

Nymeria Lancaster, si le visage de la blonde ne lui disait rien jusque-là, son nom le frappa et lui rappela qui lui faisait face. En effet, James se tenait au courant des affiches placardées dans le hall de l’école. C’était un détail intéressant à retenir dans un coin de sa tête.

« - Sun ? » dit-il étonné, comme s’il lui paraissait improbable que la jeune fille soit réellement à sa recherche.

« - C’est vrai qu’il est souvent dans le parc ou dans les alentours… Je le connais, oui, enfin… C’est un de mes camarades de classe depuis quatre ans, mais je ne sais pas vraiment si je le connais, en fait. »

Leur nombre de réelles discussions tenaient sur les doigts d’une main.

« - Tu avais quelque chose à lui dire ? Je peux lui faire passer le message, si tu veux, ou même lui dire que tu le cherches. »

Nymeria se fait la réflexion pour la énième fois que personne ne semble réellement connaitre le Poufsouffle aux verbiages autant porteur de sagesses que d'inepties, éventuellement parce que lui-même n'as pas l'air de se connaitre. Amusant d'apprendre qu'effectivement le jaune suis les cours et as même des camarades, une informations que la blonde aurait aimer avoir plus tôt dans sa scolarité, à l'époque où elle doutait même de l'existence du garçon à la crinière immaculée.

Pour le vert un haussement d'épaule répond en premier, qu'importe le message qu'elle veuille faire passer ce dernier sera à peine entendu par le destinataire.

-Ne t'embête pas pour ça mais c'est charmant de proposer.

Un sourire poli ponctue le sujet, place au suivant.

- "Serpentard à mèche" n'est pas vraiment une façon correct de t'appeler, enfin si c'est correct parce que tu es Serpentard et que tu as une mèche, ce que je veux dire c'est que ce serait bizarre d'apprendre ton nom que le jour où ce carnet vaudras une fortune.

Bien longue façon de demander à autrui de se présenter mais malgré une formulation en zig-zag la question est posée, à peu près.

L’adolescent souffla du nez, amusé par les virages pris par sa cadette pour arriver à ses fins. Il était amusant de discuter avec elle, pour l’instant en tout cas.

« - James. Ashworth. »

S’il n’avait cité que son prénom dans un premier temps, l’écossais s’était rappelé du nombre d’élèves qui portaient le même et déambulaient dans les couloirs de l’académie. Il était devenu rare qu’il ait besoin de se présenter, tant sa popularité le précédait souvent, mais cela ne le dérangeait aucunement d’échanger avec une camarade qui ne le connaissait pas au moins de vue.

« - Quatrième année et fondateur du club de Divination… Je crois que c’est tout. »

Les yeux du serpentard revinrent finalement à son fameux carnet.

« - Mais dis-moi, toi, alors, qu’est-ce que t’écrirais si tu tenais ce genre de… " prophétie" ? »

Intéressé, l’adolescent venait d’inverser le sens de la discussion et de prendre l’initiative d’interroger la blonde sur des questions peut-être intimes. Avait-elle l’envie d’y répondre ?

Involontairement une paire de sourcils se haussent sur le front de la sorcière qui tente de rattraper le coup en hochant la tete afin de faire croire que ce n'est que la première fois que ce nom est entendu bien qu'en vérité cela fait un moment que la lionne souhaitais rencontrer ce Ashworth que mademoiselle Harpis mentionne parfois, celui qui lui ferai office de mentor et d'entraineur. C'est donc instinctivement que Nymeria affute son regard, son oreille et son esprit.

Quatrième année, un ainé donc sans être un homme pour autant et trop jeune pour exercer volontairement une emprise sur la Serdaigle, fondateur d'un club reconnu par l'école ce qui -à l'instar de Dante- en dis long sur sa nature de leader, et gribouilleur de carnet à l'ombre de l'arbre, ce qui ne dis absolument rien mais as le mérite d'être classe. Une pratique pas si muette en fait, le fait que le vert conserve ses gants pour écrire est curieux mais la blonde n'en fait pas de cas. En conclusion le jeune homme parait convenable même si elle compte garder un œil sur lui par simple précaution.

Il est possible que James ai remarqué le comportement soudainement concentré de sa cadette mais celui-ci s'évapore aussi vite qu'il est apparu, laissant place à une rapide réflexion qui se solde par ces quelques mots:

- Il se résumerait à un court chapitre, puis des pages blanches. J'aimerais les noircir mais encore me faudrait il pouvoir tenir une plume ainsi qu'une encre qui tienne.

Retournement de retournement, Nymeria poursuis immédiatement:

- Ta plume en revanche semble avoir un tas de chose à raconter et mes oreilles ont faims de distraction.

Ce n’était pas la première fois que cette étrange sensation le démangeait… James en rata le changement de comportement de sa camarade, essayant de se fixer sur ses paroles tandis que son cœur lui hurlait à nouveau de se retourner. Cela ne le menait jamais à rien, pourtant, il ne pouvait pas se concentrer plus longtemps sur cette discussion sans s’assurer que personne ne les épiait.

Ainsi, l’Ashworth leva son index sans répondre, marquant un temps de pause avec la gryffondor, puis il se leva d’un coup tout en agitant sa tête dans différentes directions à la recherche d’un observateur inconnu. L’écossais monta même rapidement la petite butte qui le surplombait pour avoir une vue d’ensemble sur les potentielles personnes environnantes.

Avait-il, cette fois-ci, découvert quelque chose ?

Une réaction étrange que celle de son camarade. Nymeria lève d'abord le regard en pensant que par le geste effectuer de la main le brun indiquait par métaphore le contenu de son carnet, ce qui aurait été présomptueux même pour un Serpentard. Puis les anomalies comportementales - c'est ainsi que l'anglaise appel ces comportements depuis qu'elle s'est penchée sur le pourquoi elle est perçue comme bizarre- se poursuivent, James Ashworth se mettant à agir comme une proie dans un lieu et un contexte qui ne s'y prête pas.

Intriguée et craignant que le jeune homme ai perçu une menace qu'elle ne su percevoir la blonde glisse une main dans sa manche afin de sentir le bois de sa baguette entre ses doigts. C'est pourtant sur un ton qu'elle espère dénué de crainte que la question se pose:

- Quelque chose ne vas pas?

James quelques instants muets, jetant quelques coups d’œils aux alentours avant de revenir vers sa camarade l'air bredouille. Il se laissa tomber, dépité, puis reprit après un profond soupir.

« - Non, non, ça va. Enfin, je sais pas en fait, mais rien de grave. Je crois que les punaises magiques me font perdre la tête... Tu n'as jamais cette impression bizarre d'être observée ? »

Lui, étant un garçon populaire de l'école, l'avait souvent, mais... C'était différent. L'adolescent semblait réellement ennuyé, soufflant tout en défaisant les plis qui s'étaient formés sur sa robe de sorcier qu'il tira de sous ses fesses pour mieux l'étendre.

Donc les insectes mangeur de magie sont connu parmi les élèves, un bon point sans nulles doute, cependant la question de son ainé la laisse perplexe un instant. De ce qu'elle sait tout le monde l'observe de la même manière qu'elle observe tout le monde, manie d'adolescent qui se pense scruté et jugé par le moindre inconnu dont elle croise la route mais rien qui la pousserai à se lever pour scanner les alentours.

- Non du tout. Les dieux sont parfois farceur mais..

Rien qui la pousserai à se lever pour scanner les alentours. La fille des marais se prend pour exemple, n'ayant pas encore la faculté d'accepter que chaque être humain as sa propre perception, et se dis donc que soit le brun est fou, sois de bonnes raisons d'agir ainsi anime la réactions du quatrième année. Elle le connait à peine, rien de plus que son nom à vrai dire, mais l'ami de mon amie est mon ami parait il, alors elle se permet:

- Tu as des ennuis?

Sous entendu des litiges avec des camarades prêt à se tenir embusquer en attendant son approche.

« - Non, t'en fais pas, juste un peu de fatigue je pense. »

Une pirouette aisée lorsque l'on savait que la quasi-totalité de l'école manquait de sommeil depuis "l'épidémie" . James préférait passer à autre chose en revenant sur leur discussion initiale.

« - Mais, du coup... euh... On disait quoi, déjà ? » fit-il en levant les yeux dans le coin supérieur gauche, signe de réflexion.

Un hochement du chef témoigne que la réponse est validée même si, même si.. Nymeria ne peux s'empêcher de penser aux paroles de son amie à l'écusson jaune. Une maison totalement soumise aux désir d'une poignée de personne qui impose leurs volontés aux plus jeune des leurs, les terrorise presque.

L'adolescente s'ébroue aussi discrètement qu'il est possible de le faire puis, à l'image de son interlocuteur, reprend la conversation interrompue:

- Ton carnet, est-ce que tu veux bien..

Un sursaut, l'imposition d'une force qui est la sienne mais qui est doucement niée prend le contrôle de sa volonté:

- C'est Lui? Tu pense qu'Il nous observe?

James, qui était prêt à se replonger dans la discussion, fit bien étonné par la tournure qu'elle prenait. Il suivit le regard de Nymeria, qu'il crut percevoir par-dessus son épaule, avant de comprendre qu'elle ne regardait que lui.

« - Hein ? Qui ça ? T'as vu quelqu'un ? »

Le voilà plus perdu qu'elle.

Quelle idiotie as pu permettre une telle boulette. La blonde ne sait pas comment Eleanor mène son enquête mais la rouge as pris soin de ne rien laisser paraitre dans sa façon d'etre et la voilà presque à bruler sa couverture de gentille débile un peu curieuse auprès d'un garçon qu'elle connait à peine. Fort heureusement pour elle ce dernier ne capte pas le nom non dis, ne reste qu'à improvisé:

- Augustus. Il est gentil et plein de bonne volonté, même si je n'en ferais pas un élevage, mais as tendance à se comporter étrangement parfois.

"Pardonne moi Serpent aqueux" se dit la lionne, se servant de la singularité de son ami comme porte de sortie. La rouge fais son maximum pour se détendre bien que son regard balaye le panorama au dessus des épaule de son ainé:

- Nous disions: ton carnet. Est-il porteur de secret tel que tu ne veux rien m'en dire?

Augustus ? Quel genre d'ennuis pouvait-il bien causer autour de lui... Ce n'était pas comme si James et Alija ne l'avaient pas repris plusieurs fois pour tenter de calmer ses ardeurs... Il ignora cette aparté sur son cadet qu'il n'imaginait pas coupable de cet "espionnage". L'écossais enterra définitivement le sujet en acceptant la porte de sortie prise par la rouge.

« - Des secrets ? Pas vraiment, non. Peut-être un peu. » ajouta-t-il finalement avec le sourire, l'air joueur.

« - J'aime bien tout poser pour être sûr de ne rien oublier, c'est surtout ça. J'organise mes journées en fonction, ensuite. C'est pour ça que... Je n'imagine pas bien comment le tien ne pourrait faire qu'un paragraphe. »

Le regard du vert, planté dans celui de sa cadette, appuyait sa question qui n'en était pas vraiment une. Elle était libre de répondre ou d'en poser une autre à son tour.

Comme un miroir la rouge rend le sourire qui est adresser à Dieu sait qui puis opine. Le genre d'habitude auxquelles se prête le vert devrait être obligatoire, enseignée dès la première année pour éviter que certain étudiant finisse par occuper leurs temps aux amourettes sans avenirs ou autre hobby stupide.

-Réveil, tour du parc, cours, manger, cours, passe-temps puis sommeil. Cela tient même sur une seule ligne.

Nul besoin d'ajouter "mariage arrangé avec une sale pourriture de moldu dans moins d'un an" à la liste. Personne ne doit savoir. Jamais.

-Puis vivre ma vie tranquillement.

Cette année sera celle où les punaise de magies seront le dernier problème de parasites de ce château mais une fois encore Nymeria ne peut l'exprimer à voix haute.

- J'imagine que le club de Divination doit te prendre beaucoup de temps.